-
Actualités
Publié le 17 avril 2025
L'ACNUSA publie ses rapports de gestion pour l'année 2024
L’Autorité de contrôle publie son rapport d’activités des services, son rapport sur la clôture des...
-
Actualités
Publié le 17 avril 2025
L'ACNUSA auditionnée au Sénat au sujet des nuisances sonores causées par les transports
L’ACNUSA a été auditionnée, le jeudi 10 avril, par les sénateurs Guillaume Chevrollier et Gilbert-Luc...
-
Actualités
Publié le 11 avril 2025
Visite de l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle
Le Président de l'ACNUSA a effectué une visite de l'Aéroport Paris-Charles de Gaulle, accompagné de...
Publié le 23 mai 2023
L'aviation d'affaires fait Salon à Genève du 23 au 25 mai 2023

Les industriels réitèrent leurs engagements de 2009 pour le zéro net émission de CO2 avant 2025.
Les grands constructeurs rivalisent en affichant les performances environnementales de leurs nouveaux avions et/ou de leurs projets (Falcon 6X et 10X de Dassault / Gulfstream 800 / Ecojet de Bombardier / etc..). De nouveaux constructeurs tels que les français VoltAero et Aura Aero présentent leurs projets en cours de développement.
Les aéroports les plus attractifs pour les aviations d’affaires (Genève / Paris – Le Bourget / Nice-Côte d’Azur) affichent les dispositions prises ou prévues avec :
- les pétroliers, pour fournir des carburants incorporant une part de SAF dans le kérosène avion ;
- les assistants d’escale, pour renouveler le parc des véhicules, engins et équipements au service des aéronefs au sol afin de supprimer ou réduire les émissions sonores et les émissions atmosphériques lors des opérations au sol.
Les opérateurs et exploitants se font plus discrets. Ils craignent le recul de leurs activités qui ont connu une forte croissance à la faveur de la crise sanitaire et qui reculent depuis quelques mois. Ils soulignent la part des transports sanitaires et les prestations de transport public au service des entreprises sur des liaisons où il n’existe pas d’offres de transport alternatives efficaces.
Il reste nécessaire qu’ils s’attachent à leurs propres performances environnementales, en approche et au départ des aéroports ainsi que lors des opérations au sol. Il importe qu’ils respectent les règles environnementales édictées par arrêtés ministériels là où il en existe. Il importe également qu’ils œuvrent, dans un dialogue local serein et constructif avec les collectivités territoriales et les populations impactées par leurs activités, à la mise en place d’une régulation environnementale locale correctement équilibrée (caractéristiques environnementales des aéronefs autorisés à opérer / procédures opérationnelles de navigation aérienne en approche et au départ / opérations au sol / horaires / etc.).
Il est de l’intérêt de toutes les parties prenantes que le cadre de régulation environnementale des activités de l’aviation d’affaires sur chacun des aéroports et aérodromes où ces aéronefs opèrent soit simple, compréhensible et parfaitement respecté.