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Publié le 3 juin 2025
Déplacement des équipes de l'ACNUSA à l'aéroport de Nice-Côte d'Azur
Une délégation de l’ACNUSA s’est rendue à l’aéroport de Nice-Côte d’Azur pour rencontrer le gestionnaire...
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Publié le 28 mai 2025
L’ACNUSA visite les locaux d’AIRBUS à Toulouse
Le président de l’Autorité de contrôle, Pierre Monzani, accompagné de membres du collège et de...
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Publié le 15 mai 2025
Publication du rapport annuel 2025 de l'ACNUSA
L’Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires publie son rapport annuel 2025 rendant compte de son...
Publié le 18 septembre 2024
Les cinq scénarios pour encadrer les vols de nuit à l’aéroport de Toulouse-Blagnac
Le préfet Pierre-André Durand a initié le 27 septembre 2023 une étude d’impact selon l’approche équilibrée. Afin d’identifier les leviers de réductions des nuisances sonores nocturnes liées à l’activité de l’aéroport de Toulouse-Blagnac. Cette démarche vise à dégager des actions équilibrées entre protection de la nuit et préservation de l’activité économique. Ainsi, quatre scénarios avaient été imaginés :
- Scénario 1 : l’interdiction de programmer des décollages entre 23h et 6h et des arrivées entre 23h30 et 6h. Et les avions les plus bruyants sont interdits à partir de 22h.
- Scénario 2 : une interdiction stricte serait imposée, c’est-à-dire que si un avion décolle entre 00h et 06h, la compagnie s’expose à une amende allant jusqu’à 40 000€.
- Scénario 3 : la mise en place d’un couvre-feu, pas de départ ni d’arrivée entre 00h et 06h
- Scénario 4 : l’interdiction des vols débute dès 23h30 et, à partir de 22h, un plafonnement du nombre de vols programmés est imposé. Le samedi, aucune programmation entre 22h30 et 23h30, en semaine une interdiction des départs entre 23h et 23h30.
Le préfet a présenté récemment un cinquième scénario, un scénario 2 « sécurisé » introduisant un plafonnement du nombre d’atterrissages après minuit en cas de retard. Il indique que cette proposition permettrait « de garantir la maîtrise du nombre d’arrivées dans cette période 0 heure-6 heures » et offrirait « aux compagnies aériennes une certaine flexibilité » tout « en assurant le maintien de l’activité économique et industrielle du secteur aéronautique ».