-
Actualités
Publié le 17 octobre 2025
Révision des conditions d’utilisation de Cannes-Mandelieu
L’ACNUSA a été saisie par la DTA concernant un nouveau projet de modification de l’arrêté...
-
Actualités
Publié le 13 octobre 2025
Modification des procédures d’approche à Nice-Côte d’Azur
L’ACNUSA a été saisie par le service de la navigation aérienne sud-est (SNA-SE) pour examiner...
-
Actualités
Publié le 1 octobre 2025
L'ACNUSA s'est rendue à l'aéroport de Bordeaux-Mérignac
Le président de l’ACNUSA, Pierre Monzani, accompagné de Pierre-Etienne Bisch, membre du collège, et de...
Publié le 27 juin 2023
Les compagnies aériennes sorties « gagnantes » de la crise sanitaire

Semaine après semaine, les statistiques publiées par EUROCONTROL montrent que les très grandes compagnies qui ont vu leur trafic progresser fortement depuis 2019 sont :
- WIZZ AIR 847 (+35%)
- RYANAIR qui a réalisé 3234 vols par jour durant la semaine du 8 au 14 juin 2023 (+24% par rapport à 2019)
- TURKISH ARILINES 1571 (+9%)
Toutes les autres compagnies ont reculé ; EASYJET (-8%), KLM (-8%), Air France (-16%), British Airways (-20%), Lufthansa Airlines (-20%)
La ponctualité aux arrivés et aux départs des aéroports européens est respectivement de 68,1 et 61,5% en recul de 3,4% et 4,2% par rapport à 2019. Durant la semaine du 8 au 14 juin 2023, les retards (+16%) ont essentiellement été dus aux conditions météorologiques.
Sur certains aéroports français, le nombre de poursuites engagées par les agents de l’aviation civile assermentés à cet effet est sensiblement au niveau de 2022.
L’Autorité de contrôle appelle toutes les compagnies aériennes opérant des vols passager, tout cargo ou d’aviation d’affaires à respecter les règles environnementales éditées par arrêtés ministériels. Elle rappelle que les amendes administratives encourues pour non-respect de la réglementation sont, selon les types de manquements de 20 000 euros ou de 40 000 euros par vol.
Elle recommande aux pouvoirs publics de mieux prendre en compte les « externalités » du transport aérien (coût global des impacts sanitaires, environnementaux et climatiques) pour garantir une approche réellement équilibrée de la régulation des activités.