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Actualités
Publié le 10 décembre 2025
Etude du CEREMA portant sur l'élaboration d'indicateurs acoustiques évènementiels
Le CEREMA a mené une étude pour l’ACNUSA sur l’élaboration d’indicateurs acoustiques événementiels du bruit...
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Actualités
Publié le 5 décembre 2025
Présentation du rapport annuel de l’ACNUSA lors de la CCE de Bâle-Mulhouse
Éric Brodbeck, membre référent du collège de l’ACNUSA pour Bâle-Mulhouse, a présenté le 26 novembre...
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Publié le 4 décembre 2025
L’ACNUSA présente son rapport annuel à la CCE de Bordeaux-Mérignac
Pierre-Etienne Bisch, membre référent pour la plateforme bordelaise, a présenté le rapport annuel 2025 de...
Publié le 6 mai 2022
Nouvelle classification acoustique des aéronefs
Depuis le 1er avril dernier, une nouvelle classification acoustique des aéronefs homogénéise les classes d’appareils bruyants et répartit les avions en catégories dédiées.
La classification acoustique vise à discriminer les aéronefs en fonction de leurs marges acoustiques. Elle sert de base aux sociétés aéroportuaires pour moduler leurs redevances en fonction des caractéristiques acoustiques des aéronefs, et à l’administration de l’aviation civile pour déterminer la taxe sur les nuisances sonores aériennes (TNSA).
Le collège de l’ACNUSA regrette l’absence d’étude de l’impact de la nouvelle classification sur l’évolution des recettes de la TNSA au cours des prochaines années.
Elle relève que les aéronefs les plus bruyants de l’ancienne classification se retrouvent curieusement favorisés. Une rectification de ce qui apparait être une erreur serait souhaitable. A cette occasion, il serait utile d’apprécier les raisons de l’avantage accordé aux hélicoptères par cette nouvelle classification.
Une évaluation régulière de l’impact de cette nouvelle classification permettra d’apprécier son efficience en regard des objectifs affichés.
Pour la prochaine réforme de la classification, l’Autorité de contrôle recommande de prendre en compte les bruits certifiés des aéronefs, en approche pour les atterrissages, et en survol pour les décollages, plutôt que la marge acoustique qui relativise le bruit en fonction de la masse des aéronefs.