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Publié le 19 juin 2025
Pierre Monzani invité à l'assemblée générale du BAR France
Le président de l’ACNUSA, Pierre Monzani, a été convié le 12 juin dernier à l’assemblée...
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Publié le 18 juin 2025
Le président de l'ACNUSA est intervenu au stand du Groupe ADP lors du Salon de l'AMIF
À l’occasion du Salon de l’association des maires d’Île-de-France (AMIF), le président de l’ACNUSA, Pierre...
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Publié le 18 juin 2025
L'ACNUSA s'est rendue au siège de Transavia France
Le 12 juin 2025, la compagnie Transavia France a accueilli le président de l’ACNUSA, Pierre...
Publié le 18 mars 2024
Révision prochaine de la directive qualité de l’air
En regard des attentes sociétales (sanitaires et environnementales) et des coûts sociaux de la mauvaise qualité de l'air en Europe, les États Membres de l'Union ont fait évoluer la directive 2008/50/CE relative à la qualité de l'air ambiant et présentant comme objectif un air pur pour l'Europe. Cette directive est en passe d'être révisée afin d'être complétée et d’y intégrer de nouveaux seuils d'alerte.
La directive sera ainsi plus ambitieuse avec des normes et objectifs de qualité de l'air plus stricts à l'horizon 2030 par rapport à ceux fixés en 2008. Elle comportera des seuils d'alerte pour chacun des polluants (il n'en existe actuellement que pour l’ozone et le dioxyde de souffre).
Par ailleurs le nouvel indice européen de qualité de l’air (ICAIR) sera lui aussi revu prochainement afin de permettre des comparaisons plus faciles. Il sera accompagné d'informations sur les symptômes sanitaires associés aux différents polluants (les informations sont présentement fragmentées au sein des États Membres de l'Union).
Le réseau national des associations agrées pour la surveillance de la qualité de l'air (AASQA) anticipent les dispositions de cette directive afin d'accompagner les grandes collectivités territoriales et les grands opérateurs, notamment du secteur des transports à se préparer à un niveau d'exigence plus élevé de réduction des émissions atmosphériques.
L'Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires recommande aux aéroports et aérodromes situés sur des territoires où la qualité de l'air est médiocre à renforcer leurs collaborations avec les AASQA. Il importe en effet que ceux qui ne l'ont pas encore fait, dressent l'inventaire de leurs émissions de polluants afin de pouvoir les réduire, et réalisent régulièrement des campagnes de mesures afin de ne pas être mis en défaut.