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Publié le 28 novembre 2025
Présentation à Marseille-Provence du rapport annuel de l'ACNUSA aux membres de la CCE
Pierre-Etienne Bisch, membre référant du collège de l’ACNUSA pour l’aéroport de Marseille-Provence, a présenté le...
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Publié le 27 novembre 2025
CCE de Paris-Saclay-Versailles : présentation du rapport annuel de l'ACNUSA
Le président de l’ACNUSA, Pierre Monzani, a présenté le mardi 25 novembre, le rapport public...
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Publié le 18 novembre 2025
Visite du hub de DHL Express de Paris-Charles de Gaulle
Le président de l’ACNUSA, Pierre Monzani, et plusieurs membres du collège et de l’équipe permanente...
Publié le 23 novembre 2023
Moins de déviations de trajectoires en approche ou au départ de l’aéroport de Paris – Orly
Les volumes de protection environnementale associés aux procédures d’approche et de départ – conformément à l’article L 6362.1 du code des transports – permettent de définir les marges de tolérance par rapport aux trajectoires nominales.
L’étude et la concertation conduites par l’Autorité de contrôle avec le service local de la navigation aérienne et deux compagnies aériennes a permis de formuler des recommandations aujourd’hui bien appliquées par les compagnies aériennes, accompagnées en ce sens par le contrôle aérien.
La pression exercée pour réduire les manquements relevés a porté ses fruits. Le nombre de manquements relevés pour déviation de trajectoire a baissé ces dernières années :
- 55 en 2018,
- 22 en 2019,
- 18 en 2020,
- 11 en 2021,
- 4 en 2022,
- 0 en 2023 (aucun dossier n’est en cours d’instruction).
Aujourd’hui, les compagnies aériennes traitent les « sorties de volume de protection environnementale » comme un incident de sécurité devant donner lieu à un rapport du pilote. Certaines d’entre elles ont codé les volumes à respecter sur les outils d’aide à la navigation, de manière à aider leurs pilotes à respecter les règles. Les contrôleurs aériens n’ont pas encore la visualisation de ces volumes sur leurs écrans. Ils se montrent cependant attentifs à prévenir les risques de survols intempestifs.
Dans la mesure où la plupart des compagnies opérant à Paris-Orly opèrent également sur de nombreux aéroports français en région, il serait souhaitable pour pouvoir également prévenir les risques de survols intempestifs, que des volumes de protection environnementale soient associés aux procédures d’approches et de départs, notamment des aéroports à Marseille – Provence, Toulouse – Blagnac et Nantes – Atlantique.