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Actualités
Publié le 10 décembre 2025
Etude du CEREMA portant sur l'élaboration d'indicateurs acoustiques évènementiels
Le CEREMA a mené une étude pour l’ACNUSA sur l’élaboration d’indicateurs acoustiques événementiels du bruit...
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Actualités
Publié le 5 décembre 2025
Présentation du rapport annuel de l’ACNUSA lors de la CCE de Bâle-Mulhouse
Éric Brodbeck, membre référent du collège de l’ACNUSA pour Bâle-Mulhouse, a présenté le 26 novembre...
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Publié le 4 décembre 2025
L’ACNUSA présente son rapport annuel à la CCE de Bordeaux-Mérignac
Pierre-Etienne Bisch, membre référent pour la plateforme bordelaise, a présenté le rapport annuel 2025 de...
Publié le 23 novembre 2023
Moins de déviations de trajectoires en approche ou au départ de l’aéroport de Paris – Orly
Les volumes de protection environnementale associés aux procédures d’approche et de départ – conformément à l’article L 6362.1 du code des transports – permettent de définir les marges de tolérance par rapport aux trajectoires nominales.
L’étude et la concertation conduites par l’Autorité de contrôle avec le service local de la navigation aérienne et deux compagnies aériennes a permis de formuler des recommandations aujourd’hui bien appliquées par les compagnies aériennes, accompagnées en ce sens par le contrôle aérien.
La pression exercée pour réduire les manquements relevés a porté ses fruits. Le nombre de manquements relevés pour déviation de trajectoire a baissé ces dernières années :
- 55 en 2018,
- 22 en 2019,
- 18 en 2020,
- 11 en 2021,
- 4 en 2022,
- 0 en 2023 (aucun dossier n’est en cours d’instruction).
Aujourd’hui, les compagnies aériennes traitent les « sorties de volume de protection environnementale » comme un incident de sécurité devant donner lieu à un rapport du pilote. Certaines d’entre elles ont codé les volumes à respecter sur les outils d’aide à la navigation, de manière à aider leurs pilotes à respecter les règles. Les contrôleurs aériens n’ont pas encore la visualisation de ces volumes sur leurs écrans. Ils se montrent cependant attentifs à prévenir les risques de survols intempestifs.
Dans la mesure où la plupart des compagnies opérant à Paris-Orly opèrent également sur de nombreux aéroports français en région, il serait souhaitable pour pouvoir également prévenir les risques de survols intempestifs, que des volumes de protection environnementale soient associés aux procédures d’approches et de départs, notamment des aéroports à Marseille – Provence, Toulouse – Blagnac et Nantes – Atlantique.